Actualités pour les infirmières libérales

Retrouvez sur cet espace les actualités dénichées sur le web et concernant la profession d'infirmier(e) libérale. Nous remercions les sites d'origine pour leurs articles.

Notre avis sur le programme minceur une diète de chef

Monday 8 November 2021 par Brigitte Femenia

Catégorie : articles divers santé

Il existe de nombreux programmes minceur. Ceux avec livraison de plats, d’autres avec la mise à disposition d’un plan alimentaire personnalisé. C’est dans cette 2eme catégorie que se trouve Une diète de chef. On vous donne notre avis sur ce programme qui nous informe pouvoir perdre du poids en mangeant ce que l’on aime.

Comment fonctionne le programme une diète de chef ?

Leur slogan “faire rimer mincir avec plaisir” peut sembler un peu trop attrayant pour être vrai. Cependant, en consultant les recettes minceur disponibles dans les programmes, il est possible de voir que leur slogan semble bel et bien réel.

Les menus minceur sont composés de fromage, de pain, de beurre, de chocolat, de pâtes, de confiture… Il est même possible de manger des pancakes au chocolat pour le petit déjeuner.

Comment est-ce possible ? Le programme est de type hypocalorique. C'est-à-dire que l’on consomme moins de calories que ce dont nous avons besoin. C’est ce qui permet de perdre du poids sur le long terme.

Lors de l’inscription, le site calcule vos besoins en calories et adapte les menus selon votre morphologie. Ce procédé leur permet de vous proposer des menus à la fois sains et gourmands.

Les recettes sont donc travaillées afin d’incorporer ces aliments que l’on aime tant à notre quotidien et de faire en sorte que ces plats soient en adéquation avec un objectif de perte de poids. On y retrouve des ingrédients plaisirs tels que ceux mentionnés précédemment et des ingrédients sains tels que des fruits, des légumes, des œufs, des légumineuses …

Une fois l'adhésion faite, il est possible d’accéder à son menu alimentaire et de le modifier selon ses préférences. Cela est d’ailleurs fort appréciable d’avoir une telle flexibilité sur son plan diététique : il est possible de remplacer des recettes qui ne nous plaisent pas sans restriction. Il est également possible de remplacer des aliments qui ne nous conviennent pas à l’aide des propositions qui nous sont faites.

L’adhésion donne également accès à la liste de courses nécessaire, semaine par semaine. Cela permet d’anticiper au mieux, en cochant les aliments achetés directement sur son smartphone ou sur la liste de courses téléchargées.

Jusque-là, tout va bien. Mais quels sont les pièges ou les inconvénients de ce programme ?

Avantages et inconvénients du programme minceur une diète de chef

Les inconvénients du programme

La 1ere chose va être l’obligation de cuisiner ses repas. Les recettes sont principalement composées d’aliments sains. Parmi ces recettes, il est possible de retrouver des smoothies, des soupes, des gratins... Il faut donc posséder de quoi cuisiner.

Le second point va être le temps nécessaire à la préparation des plats. Certains demandent peu de temps (5 à 10 minutes), tandis que d’autres vont demander davantage de temps. C’est le cas des pizzas présentes dans le programme où il est recommandé de préparer la pâte puis de la laisser reposer durant 2 heures.

diete de chef

Les avantages du programme minceur une diète de chef

Pour commencer, le prix est très clairement un avantage non négligeable du programme. Payer 9.90€ par mois, un plan alimentaire sur-mesure, gourmand et adaptable reste raisonnable en comparaison avec les différents acteurs du marché de la minceur. Il existe plusieurs offres tarifaires qui permettent d’adapter le prix et la durée du programme, cependant plus la durée sera courte plus le prix sera élevé.

L’adaptabilité et la personnalisation du programme est également une force. Une grande flexibilité est offerte aux utilisateurs. Il est possible de changer de recettes, comme d’aliments. Idéal pour les allergies ou pour les préférences alimentaires.

Suite à l’adaptabilité des plats, les plats eux-mêmes représentent un point fort du programme. Ceux-là sont pensés pour être gourmands et diététiques. Certaines recettes de restaurateurs sont disponibles dans les menus minceur, ce qui permet de faire le lien avec le slogan “faire rimer mincir et plaisir” de l’entreprise Une diète de chef

De plus, il existe une diversité importante dans les plats proposés : plus de 600 recettes minceur pour le petit déjeuner, le déjeuner, la collation et le dîner sont disponibles.

Les menus hypocaloriques permettent de consommer moins de calories que nécessaire sans s’affamer, ce qui va entraîner la fonte des graisses sur le long terme. Les menus comprennent 4 repas par jour, de bonnes quantités et de quoi se faire plaisir.

Des conseils et astuces sont accessibles pour les membres du programme. On peut retrouver des articles sur la perte de poids, la stagnation, sur comment éviter l’effet yoyo, sur les aliments, sur le corps humain ou encore sur la consommation de sucre.


 

Notre avis sur le programme minceur d’Une diète de chef

Dans l’ensemble, ce programme est plutôt attractif. Il se démarque de ses concurrents par cette forte notion de plaisir : les photos des plats donnent vraiment envie de faire le programme même si on n’a pas de poids à perdre.

Ajouté à cela, le prix est également très attractif. Moins de 10€ par mois pour avoir un plan alimentaire personnalisé reste, globalement, inférieur aux principaux acteurs du marché de la minceur. Cela permet par exemple d’essayer puis d’arrêter s’il ne convient pas.

Ce nouveau concept minceur a de quoi séduire toute personne souhaitant rééquilibrer son alimentation et se reprendre en main. Cependant, il ne conviendra pas à ceux qui n’ont pas de temps à accorder à la préparation de leurs plats.


 

Auteur : Emmanuel Higel

Obligation vaccinale : les conséquences pour les Idels

Thursday 28 October 2021 par Brigitte Femenia

Catégorie : actualité infirmier(e)s

Les infirmières libérales, comme leurs homologues exerçant en établissement de santé, doivent se faire vacciner contre la Covid-19. Qui les contrôle ? Quelles sont leurs obligations en tant qu’employeur ?

Les Idels ont l’obligation, comme leurs confrères salariés et agents de la fonction publique, de se faire vacciner contre la Covid-19 – sauf contre-indication, et de respecter le calendrier vaccinal mis en place par le ministère de la Santé. C’est aux agences régionales de santé (ARS) de s’assurer du respect de cette obligation. D’ailleurs, depuis le 11 août, les organismes locaux d’assurance maladie leur transmettent, tous les 15 jours, le fichier des professionnels de santé libéraux conventionnés exerçant sur leur territoire et n’ayant pas engagé à date leur parcours vaccinal. La loi du 5 août relative à la gestion de la crise sanitaire dispose aussi que si l’ARS constate qu’un soignant libéral exerce sa profession sans satisfaire à l’obligation vaccinale pendant plus de trente jours, elle peut en informer le Conseil national de l’ordre, qui déterminera d’éventuelles sanctions.

Faire respecter l’obligation

Les soignants libéraux sont également dans l’obligation de faire respecter la loi au sein même de leur structure d’exercice puisque le texte prévoit que les personnes travaillant dans les mêmes locaux que les professionnels de santé sont eux aussi soumis à l’obligation vaccinale. Une mesure qui peut concerner les étudiants en soins infirmiers, une secrétaire médicale ou encore une femme de ménage. L’Idel doit donc demander une preuve de vaccination, qu’elle devra détruire lorsque l’obligation vaccinale ne sera plus en vigueur. Si l’employé ou l’étudiant ne peut pas justifier de sa vaccination, la soignante doit alors suspendre son contrat de travail sans rémunération. Et si elle refuse de contrôler ses employés, elle s’expose à une amende de 1 500 euros.

Qu'entraine le non respect de l'obigation de vaccination ?

Les idels en infraction vont recevoir dès le mois d'octobre un courrier en AR de l'ARS leur stipulant leur déconventionnement immédiat .

Leurs patients seront informés par courrier en AR que leur soignat est actuellement en infraction et n'est plus autorisé à leur pratiquer des soins .

Dans un premiers temps ,jusqu'au 31 décembre 2021 ,les patients se verront rembourser les soins pratiqués au delà du 15 octobre ,puis à partir du mois de janvier 2022 ,ces soins ne seront plus remboursés et ils seront informés de leur possibilité de faire un recours en justice pour y parvenir .

L'idel en infraction devra rembourser l'indu aux caisses ,y compris si ces soins ont été pratiqués par un remplacant ou salarié car il lui appartient de vérifier le "Pass vaccinal " de ceux ci .

 

Le droit de prescription des infirmières : un élargissement inéluctable ?

Wednesday 27 October 2021 par Brigitte Femenia

Catégorie : actualité infirmier(e)s

Qu’elles soient hospitalières ou libérales, les infirmières jouissent déjà d’un droit de prescription, qui est, il faut le souligner, strictement encadré par la loi. De nombreuses infirmières mais aussi des acteurs de la Santé réclament depuis longtemps un élargissement de ce droit. Et si cet élargissement était inéluctable ? C’est ce que laisse entendre le Conseil International des infirmières.

 

Un droit de prescription pour les infirmières très (trop ?) encadré

C’est une question récurrente dès lors que l’on s’intéresse à la profession infirmière. Bien que les infirmières et infirmiers libéraux ou hospitaliers disposent déjà d’un droit de prescription, ces professionnels de santé revendiquent, depuis des années, que celui-ci soit largement étendu afin de pouvoir répondre aux enjeux de notre système de santé. Aujourd’hui, le droit à prescription des infirmières est strictement encadré, avec des conditions détaillées et listées par le code de la santé publique. Pour certaines IDEL(s) notamment, cette législation est obsolète et ne répond ni aux besoins des patients d’une part ni à la nécessaire reconnaissance des compétences des infirmières et infirmiers d’autre part.

Toutefois, depuis quelques années, des réflexions sont menées pour étudier les éventuels cadres à définir pour envisager un tel élargissement. Il s’agit bien ici de règles générales, concernant l’ensemble de la profession infirmière, et non pas des dispositifs spécifiques, aménagés pour les infirmières en pratique avancée (IPA). La crise sanitaire a relancé le débat, en mettant en avant le nécessaire renforcement de l’exercice coordonné. Les problématiques de pénurie de personnel soignant, tant en ville qu’à l’hôpital, ont en effet relancé le débat de la « délégation des tâches » tant du médecin vers l’infirmière, que de l’infirmière vers l’aide-soignante. Et en cette période, où le ministère de la Santé réfléchit aux grandes évolutions à impulser pour les années à venir, la question de l’élargissement du droit de prescription pour les infirmières et infirmiers est donc à nouveau au cœur des débats.

 

La prescription des infirmières, une évolution nécessaire et souhaitable ?

 

Nous ne pouvons, en quelques lignes, lister les arguments des défenseurs de cette proposition ni ceux qui s’opposent à cet élargissement. En revanche, le Conseil International des Infirmières (CII) a pris clairement position en publiant le 21 septembre dernier des Directives sur le pouvoir de prescription des infirmières. Dans l’esprit originel du CII (Dispenser des soins de qualité à toutes et tous ne peut pas se faire sans les infirmières), ces directives soulignent la nécessité d’élargir le droit de prescription aux infirmières dans tous les pays du monde. En soulignant que ce droit existe depuis plus d’un demi-siècle dans certains pays, le CII s’accorde à souligner que ce droit de prescription ne peut envisageable que si certaines conditions sont réunies. Pour une « prescription de qualité, sûre et efficace », le CII identifie ainsi 5 critères essentiels et incontournables :

  • Un programme de formation agréé et adapté
  • La reconnaissance totale des compétences des infirmières par les autorités sanitaires de chacun des pays
  • L’autorisation officielle de prescrire des médicaments
  • L’autorisation « d’établir des ordonnances dans le cadre du champ de pratique »
  • Une formation professionnelle continue afin de garantir des compétences toujours à jour.

Largement étayées et détaillées, les directives du CII constituent un véritable parcours pour la mise en place d’un droit de prescription. Et le CII conclut ainsi :

« Le pouvoir de prescription des infirmières peut jouer un rôle important dans l’amélioration des résultats des soins en renforçant l’efficacité et l’efficience des services de santé. Les infirmières disposant d’un pouvoir de prescription peuvent faciliter la prestation de soins mieux intégrés, ce qui améliore la qualité globale des services de santé. En outre, les infirmières qui ont le droit de prescrire éprouvent une plus grande satisfaction professionnelle. »

 

A bien lire cette conclusion, on pourrait y voir une réponse argumentée à celles et ceux s’opposant en France à cet élargissement du droit des infirmières. Il ne reste donc à savoir, que si cet appel sera entendu de la part des autorités sanitaires.

Source : www.albus.fr

Comment trouver un ostéopathe Do ?

Monday 18 October 2021 par Brigitte Femenia

Catégorie : articles divers santé

En proie depuis un moment à des troubles musculosquelettiques (TMS) ? Vous souhaitez y remédier au plus tôt pour retrouver le bonheur au quotidien ? Rien de plus légitime comme vœu. Les services d’un ostéopathe vous seront alors d’une grande utilité pour endiguer les effets néfastes de ce type de troubles qui vous rend contreproductif.

Reconnues comme la première cause de maladies professionnelles en France, l’ostéopathie est un véritable handicap, et délétères, une évaluation des facteurs encourageants de ce type de risque mérité d’être effectué. Cet article se propose de mettre en lumière ces divers facteurs et les moyens les plus usités pour s’attacher rapidement les services d’un ostéopathe diplômé.

Les troubles musculosquelettiques : véritables bourreaux du travailleur ?

Que vous soyez salarié ou travailleur à votre propre compte, professionnel ou pas, vous n’êtes pas à l’abri de développer des pathologies en rapport direct avec les troubles musculosquelettiques. En effet, en France par exemple, 9 français sur 10 affirment avoir souffert au cours de leur vie de douleur de dos. Ainsi, les tendinites, la lombalgie ou encore le syndrome du canal carpien sont autant de troubles qui ne cessent de faire des victimes d’année en année.

Si vous trainez un de ces maux depuis un bon bout de temps, il y a en effet de quoi vouloir contacter au plus tôt un ostéopathe Do. Quand ils se déclenchent, ces troubles prennent en otage diverses parties du corps à savoir les tendons, les ligaments, les nerfs et la région lombaire, ainsi que la nuque, les poignets et muscles en général. Véritable bourreau pour le travailleur, ces troubles musculosquelettiques trouvent leur origine dans bien de facteurs.

Quels sont les facteurs à la base des troubles musculosquelettiques (TMS) ?

Quand bien même il ne s’agit pas d’une liste exhaustive, on dénombre toutefois un nombre important de facteurs à la base des troubles nécessitant le recours à un ostéopathe diplômé. On remarque par exemple un fort de prévalence de ces troubles chez les travailleurs qui exercent dans des métiers à contraintes biomécaniques.

Pour faire plus clair, les travailleurs qui exercent quotidiennement d’importants efforts physiques voire d’intenses, sont plus sujets à développer les TMS. Cependant, même le travailleur se croyant installé dans le meilleur des conforts en entreprise n’est pas non plus pour autant épargné. En effet, un mobilier de bureau peu confortable couplé aux mauvaises postures est de nature à encourager l’apparition de ces dives troubles.

Les positions statiques se rapprochant des travaux en chaine réalisés dans les usines de montages par exemple sont propices au développement des TMS. La taylorisation du travail est ainsi pointée du doigt, car rendant les gestes répétitifs pour le travailleur en plus d’avoir à côtoyer au quotidien, les vibrations des diverses machines tournant à plein régime. Heureusement, trouver un ostéopathe vous sera bien à portée de main. En effet, les cabinets et plateformes d’ostéopathe ne sont pas chose rare.

Bien choisir son ostéopathe

Comme vous l’aurez remarqué, l’ostéopathe en tant que professionnel au service de votre bien-être au quotidien intervient sur des missions d’une extrême importance pour le patient. À ce titre, il ne faudrait pas que votre mal de dos vous amène à consulter n’importe qui. Il faut ainsi noter qu’un ostéopathe ne peut exercer sans détenir un diplôme ou une autorisation spécifique. Le critère de la détention d’une qualification professionnelle est déterminant dans le choix d’un ostéopathe Do.

Il est également important de vous méfier fortement des annuaires qui pullulent sur le Net pour y piocher un ostéopathe. Le risque est toujours aussi élevé. Les limites de ces types d’annuaires s’expliquent bien des fois par le manque de données mises à jour. En outre, vous avez peu de garanties sur le savoir-faire de ces professionnels sur le net. Il est alors recommandé de se tourner vers ses sites spécialisés, qui sont le plus souvent des associations et syndicats d’ostéopathe qui bénéficient tous d’une reconnaissance de la par de leurs pairs. Avec des niveaux d’études élevées et des agréments, ces sites sont de véritables mines d’or.

Ostéodo.fr : le site de référence pour vos consultations d’ostéopathes

Parlant de site de référence pour trouver un ostéopathe Do, osteodo.fr se place comme la vitrine qui offre une grande visibilité pour les ostéopathes. En effet, ce site de confiance vous offre l’opportunité de dénicher en quelques clics un professionnel de l’ostéopathie pour vote prise en charge. Avec des fonctionnalités avancées, le site permet de dénicher un ostéopathe Do près de chez soi. En 5 minutes en moyenne, vous aurez obtenu un rendez-vous.

Cette plateforme de recherche pour satisfaire le plus de monde prend en compte une cinquantaine de villes qui forment le Top des villes de recherches pour ostéopathe. Nul besoin de parcourir toutes les pages du Net à la recherche d’un ostéopathe diplômé. Vous découvrirez tous les services dont vous aurez besoin directement en ligne. Le nec plus ultra est en effet le guide que propose le site.

Vous avez ainsi la chance de parcourir des articles dédiés à l’ostéopathie et aux troubles sus évoqués. Ceci vous permet de mieux vous informer également. Le cheminement pour vous attacher les compétences d’un ostéopathe sur le site est rendu facile. En effet, une fois votre ville de résidence choisie, vous n’aurez qu’à cliquer sur « contact » et ensuite définir la date et l’heure souhaitée.

Comment se présente une séance d’ostéopathie ?

Une séance d’ostéopathie dure en moyenne une demi-heure. Cependant, il faut remarquer que tout est fonction du degré de gravité ou de complexité de votre trouble musculosquelettique. Mais avant de procéder à toute thérapie, l’ostéopathe au prime abord vous consultera. Pour réussir sa mission, il s’intéressera à votre bilan de santé, vous posera des questions et effectuera des tests de vérification.

Ce bilan ostéopathique portera en conséquence sur vos antécédents traumatiques et votre mode de vie. Les divers éléments récoltés serviront à élaborer une stratégie de rétablissement pour les séances qui suivront. Les tests de vérification portent sur les tests de tension et les tests palpatoires. Pour vous donner un gain de satisfaction, l’ostéopathe dispose de plus d’un tour dans sa manche.

Ce dernier fera appel à bien de techniques pour soulager vos peines. Celles-ci sont entre autres les :

  • techniques fonctionnelles ;
  • techniques crâniennes
  • techniques viscérales ;
  • techniques structurelles.

À remarquer que vous pouvez consulte un ostéopathe à titre préventif. En fonction de votre trouble, vous pourrez être amené à suivre de 1 à 3 séances, généralement espacées de quelques semaines. Après chaque séance, les deux jours qui suivent doivent être consacrés au repos pour permettre à votre corps d’assimiler les nouveaux changements.

Auteur : boosterlink

Votre lecteur TLA va t’il finir à la poubelle ?

Thursday 14 October 2021 par Brigitte Femenia

Catégorie : actualité infirmier(e)s

Vous avez peut-être reçu un message de votre CPAM ou éditeur de logiciel vous indiquant que c’est bientôt la fin des lecteurs de carte Vitale TLA (Terminal Lecteur Applicatif). Certains éditeurs de logiciels n’hésitent pas à en profiter pour augmenter très largement leurs tarifs et vous faire signer de nouveaux contrats. Si c’est le cas, il y a certaines choses à savoir. Voici quelques explications de la FNI.

L’Assurance Maladie fait progressivement évoluer les pré-requis techniques des lecteurs par le biais du GIE (Groupement d’Intérêt Économique) SESAM-Vitale pour répondre aux besoins de nos utilisateurs et aux évolutions des usages. Les éditeurs de logiciels sont obligés de respecter ce cahier des charges s’ils veulent garder leur agrément.

Ainsi, en février 2019, le GIE SESAM-Vitale a annoncé arrêter progressivement le support des composants GALSS fin 2021 : ainsi,  tout lecteur SESAM-Vitale devra être raccordé à votre logiciel de facturation en mode PC/SC.

 

Qu’est-ce que GALSS ?

Il s’agit du Gestionnaire d’Accès aux Lecteurs Santé Social, un « driver » qui permet à votre ordinateur de reconnaître le lecteur TLA.
 Ce composant est d’ailleurs à l’origine de la plupart des problèmes techniques que l’on connaît tous (mises à jour de Windows, changement de port USB, etc.)

 

Qu’est-ce que PC/SC ?

Le protocole PC/SC signifie Personal Computer / Smart Card et gère depuis très longtemps la lecture des cartes par un ordinateur. C’est d’ailleurs devenu la norme mondiale.

Ce protocole dispose de nombreux avantages, dont la compatibilité avec les mises à jour des systèmes d’exploitation et ceux des navigateurs Internet, une plus grande rapidité et surtout l’absence de driver à installer.

Enfin, les lecteurs PC/SC sont plus simples à fabriquer et donc moins chers et se branchent très facilement par USB sur votre poste informatique.

L’idée finale, c’est que l’Assurance Maladie souhaite utiliser les lecteurs PC/SC pour les cartes vitales physiques et, ensuite, pouvoir lire les e-cartes vitales via les applications mobiles. A terme c’est la suppression de la carte « plastique » aussi bien Carte CPS que Carte Vitale qui est visée.

Concrètement, à partir de janvier 2022, seuls les lecteurs PC/SC seront supportés pour lire les cartes vitales et vous ne pourrez plus charger, décharger et sécuriser vos FSE (Feuilles de Soins Électroniques).

 

Que devez-vous faire ?

Vous avez deux choix :

– Soit vous équiper d’un lecteur TLA natif PC/SC ;

– Soit mettre à jour votre TLA en version bi-mode / utiliser le mode PC/SC.

Le problème c’est que le mode PC/SC n’est pas toujours possible en fonction du TLA (se rapprocher de votre éditeur ou du fabricant) et qu’il vous faudra donc changer de TLA pour un modèle plus récent qui fonctionnera avec votre logiciel.

La plupart des lecteurs récents, tels que ceux de Kapelse (ES-KAP-AD , KAP&LINK etc.) et d’Olaquin (ex-Ingenico) comme le VitalAct 3S sont en théorie compatibles avec le mode PC/SC.

Cependant, certains éditeurs de logiciels profitent de cette occasion pour mettre en place une démarche commerciale opportuniste en jouant sur la confusion et vous incitent à changer totalement de logiciel pour passer à une gamme supérieure plus chère (parfois jusqu’à 5 fois le tarif que vous payez déjà) et vous expliquent que le Forfait Structure payé par la CPAM vous permettra d’amortir cette obligation. L’éditeur, dans ce cas précis, souhaitant ne pas faire évoluer son logiciel et faire migrer ses clients vers une gamme plus rentable pour eux.

Sachez que si l’éditeur n’est pas capable d’assurer le contrat que vous avez signé avec lui, vous pouvez vous rapprocher de votre protection juridique le cas échéant pour rompre l’engagement. Vous pourrez ensuite faire jouer la concurrence pour négocier le tarif ou contacter d’autres éditeurs. Par ailleurs, certains éditeurs vous proposent de reprendre une partie de vos données le cas échéant.

En savoir plus : 

Lecteurs Vitale : Remplacement des lecteurs obsolètes :
http://infoslettre.info/47/44/pdf/tousps-vitale-migration.pdf

Liste des dernières versions d’applications de lecteurs SESAM-Vitale homologués (novembre 2020) :
https://industriels.sesam-vitale.fr/documents/10192/3574897/Liste+des+derni%C3%A8res+versions+d%27applications+de+lecteurs+homologu%C3%A9s+SESAM-Vitale

Source : fni.fr

Auteur : FNI